Vous endormez votre public? Voici comment faire une présentation qui éveille

Quand j’ai commencé mes premières présentations clients, le stress me paralysait. Le PowerPoint, c’était ma bouée de sauvetage ; je me disais qu’au pire, je pourrais lire mes slides mot pour mot si je me perdais, sans vraiment savoir comment faire la présentation de façon captivante.

Et puis j’ai eu une chance incroyable : c’est le big boss de notre boîte, un vrai prodige de la vente, qui m’a formé. Lui, avec son expérience, son aisance, et son talent pour la négociation, il voyait le diaporama comme un simple support. Pas question de lire mes slides en face de lui – c’était trop la honte. Alors j’ai dû apprendre à m’en détacher, à vraiment travailler mon discours. Trois heures pour trois slides, c’était ça mon niveau de préparation.

Aujourd’hui, je suis tellement reconnaissante d’avoir vécu ça. Je vois encore trop souvent des pros se cacher derrière leurs slides en pensant que c’est ça, la présentation. Non, le message, c’est toi qui le portes, pas tes slides. Et si tu veux éviter d’endormir ton public, continue de lire : à la fin de cet article, tu auras les clés pour accrocher ton audience et rendre chaque mot mémorable.

Comment débuter la présentation ?

Les premières secondes sont cruciales. Comment faire la présentation pour capter immédiatement l’attention ? Il te reste moins de dix secondes.. Pense à ça : c’est comme si tu te retrouvais face au big boss, celui qui n’accepte aucune excuse. Il ne cherche pas la perfection mais l’authenticité, et ton public, c’est pareil. Ils veulent du vrai, pas une récitation.

Un bon début, c’est une histoire, un moment d’hésitation ou un souvenir un peu vulnérable. Quelque chose comme cette peur qui me paralysait à l’idée de lire mes slides sous le regard du patron. Tu les emmènes immédiatement avec toi dans ce moment, et ça rend tout le reste plus fort, plus captivant.

Comment se préparer pour une présentation ?

C’est là que beaucoup de gens se plantent, pensant savoir comment faire la présentation alors qu’ils empilent des faits, en espérant que tout passe par magie. Mais préparer une présentation, c’est d’abord maîtriser le sujet, puis se l’approprier. Rappelle-toi : trois heures pour trois slides. Ce n’était pas pour être parfait, c’était pour connaître mon sujet tellement bien que je pouvais m’en détacher.

Voici quelques règles d’or pour que ta préparation soit aussi bétonnée :

Connais ton sujet de fond en comble : C’est plus que des chiffres et des faits. Ce sont les petites anecdotes, les détails qui surprennent, ce qui rend ton discours unique. Pense à ce que je te disais plus haut : pouvoir raconter au lieu de lire.
Planifie ton déroulement : Visualise où tu commences, où tu t’arrêtes, et même où tu pourrais improviser. C’est un peu comme préparer chaque étape pour ne pas rester figé.e sur tes slides.
Répète jusqu’à ce que ça devienne naturel : Ce n’est pas pour être parfait.e, mais pour que tu sois assez à l’aise pour t’aventurer hors des sentiers. C’est cette aisance qui crée la magie en présentation.

Comment faire la présentation ?

Si tu veux vraiment comprendre comment faire la présentation qui captivera ton audience, garde ces cinq étapes simples en tête.

étape 1 : Accroche dès le départ : Dès que tu ouvres la bouche, balance une anecdote ou une phrase marquante. Un truc qui les fait lever les yeux de leur téléphone et qui dit : “Ah, ça va être différent !”
étape 2 : Présente le problème en créant du suspense : Un peu comme quand j’ai réalisé qu’il n’y avait pas moyen de me cacher derrière mes slides. Pose le contexte et laisse-les se demander comment tu as géré la suite. Ton public adorera ce côté “enquête”.
étape 3 : Dévoile ta solution comme une révélation : Crée une pause, laisse le suspense, puis dévoile ton message. C’est comme si tu révélais comment tu as appris à parler sans slides, en construisant un message qui tient la route tout seul.
étape 4 : Soutiens tes propos avec des preuves : Donne des exemples concrets, des anecdotes, des chiffres. C’est ce qui montre que tu sais de quoi tu parles. Comme dans mon cas, trois heures de préparation pour quelques slides… Ça en dit long sur le besoin de préparation.
étape 5 : Conclue sur une note forte : Finis avec une phrase qui marque, qui résonne. Pas de “Voilà, c’est tout”. Non, finis avec quelque chose que ton public retiendra vraiment.

Comment se présenter à l’oral ?

Une bonne présentation, c’est avant tout une connexion avec ton public. Quand tu te présentes, imagine-toi comme à une soirée : les gens n’ont pas envie de connaître ton CV par cœur.
C’est là que beaucoup de gens se plantent, pensant savoir comment faire la présentation alors qu’ils empilent des faits, en espérant que tout passe par magie. Et puis, surtout, n’hésite pas à montrer ta différence. Laisse un peu de toi transparaître, même tes failles. Par exemple, moi, j’ai été une très mauvaise élève : j’ai été virée de deux collèges à 13 ans. Quand je fais des interventions et quz c’est pertinent, je le dis, même si au début de ma carrière, je le cachais. J’avais même un look d’élève modèle, pour faire croire que j’avais un parcours sans faute. Mais aujourd’hui, je sais que cette honnêteté fait partie de ma force. Ça crée un lien. Parce que c’est dans ces moments de vulnérabilité qu’on capte vraiment l’attention.

Pourquoi partager une anecdote dersonnelle Peut faire toute la différence

Commence par une anecdote personnelle : Rien n’accroche plus un public qu’un moment de vulnérabilité. Une petite anecdote, même un peu embarrassante, peut casser la glace en un instant. Moi, il m’est arrivé de commencer une présentation en avouant que la veille, j’avais passé mon temps à imaginer tous les scénarios où ça pouvait foirer. Résultat : ils ont ri. En quelques secondes, j’étais plus cette « oratrice » intimidante, mais une personne comme eux. Et là, tout le monde s’est senti un peu dans le même bateau.

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Évite le CV complet—juste l’essentiel : On a tous envie de prouver qu’on est à la hauteur, mais résiste à l’envie de dérouler tout ton CV. Concentre-toi sur les moments marquants, les étapes qui résonnent avec ce que tu veux transmettre aujourd’hui. Imagine que tu racontes ta vie autour d’un verre avec quelqu’un que tu viens de rencontrer : tu vas droit au but, tu gardes les détails ennuyeux pour plus tard.

Fais-les se sentir concernés : comment captiver ton public dès les premières secondes

Fais en sorte qu’ils se sentent concernés : Le public se demande toujours : “Pourquoi je devrais m’intéresser à cette personne ?” Donne-leur une bonne raison. Un défi que vous partagez, un objectif commun, ou même juste quelque chose qu’ils veulent savoir. Dès qu’ils sentent que tu as une expérience qui peut les inspirer ou leur apporter quelque chose, ils seront beaucoup plus attentifs.

Nos 9 meilleurs conseils pour une présentation orale parfaite

Ça y est, tu t’es présenté.e, tu te lances, mais maintenant le vrai défi commence : comment faire la présentation pour capter l’attention de ton audience et surtout, pour qu’elle se souvienne de ce que tu as dit ? C’est là que beaucoup trébuchent : la plupart des présentations finissent oubliées aussi vite qu’une mauvaise chanson de pub. Mais ce n’est pas une fatalité ! Voici une petite feuille de route, des techniques simples pour faire en sorte que ta présentation reste dans les têtes.

Maîtrise l’art de la pause

Imagine : tu parles, tu développes ton idée, et au moment où ça devient captivant… tu t’arrêtes. Tu laisses le silence s’installer juste assez longtemps pour que les gens se demandent si tu as perdu le fil. C’est là qu’ils tendent l’oreille. La pause, c’est inconfortable, mais c’est l’une des meilleures façons de créer de l’impact. Laisse-les dans l’attente – ça les rendra encore plus attentifs.

Raconte des histoires, pas juste des faits

Si tu veux que ton message reste, pense aux histoires. On se souvient tous de comment une bonne histoire nous fait sentir, même si on oublie les détails. Une bonne histoire dans une présentation fait exactement ça. Partage une expérience personnelle, un moment où tu as dû relever un défi. Moi, par exemple, j’ai appris à m’en sortir sans slides quand mon boss m’a interdit de lire mot pour mot. Ça a été dur, mais maintenant, je maîtrise ce stress.

Utilise des visuels qui sortent de l’ordinaire

Les slides sont là pour t’aider, pas pour te saboter, surtout quand on sait comment faire la présentation sans se cacher derrière. Évite les visuels qui ressemblent à des rapports de vieux classeurs Excel. Des images fortes, peu de texte, et surtout, pas de clip art ! Un bon visuel doit appuyer ton message, pas entrer en compétition avec lui.

Bouge avec intention

Rester figé te donne l’air nerveux ; mais bouger dans tous les sens te fait paraître désorganisé.e. Déplace-toi avec un but, chaque pas doit souligner ton propos. Ça renforce ton message sans détourner l’attention.

Implique ton audience, même si elle a l’air déconnectée

Il y a toujours quelqu’un dans l’audience qui croise les bras, regarde l’heure. Ne l’ignore pas. Engage-la. Pose des questions, établis un contact visuel, propose des exemples concrets. Le but, c’est qu’ils se sentent concernés, même s’ils avaient l’air de préférer être ailleurs.

6. Varie ton ton comme si tu racontais une histoire au coin du feu

Si tu parles avec un ton monotone, ton audience pense déjà à sa liste de courses. Change ton rythme, ton volume. Construis des moments forts, baisse le ton, lance un rire. Ta voix est la bande-son de ton histoire – utilise-la.

Utilise de l’humour (si tu peux l’assumer)

L’humour, c’est délicat. Quand ça marche, c’est magique. Quand ça tombe à plat, c’est le malaise assuré. La clé ? Connaître ses forces – l’autodérision marche souvent le mieux, surtout si tu fais de toi la cible de la blague. Comme quand je dis que j’étais tellement nerveuse lors de ma première présentation que j’ai envisagé de lire mes slides pour me sauver. Ça fait rire parce que c’est sincère.

Termine chaque partie avec un petit suspense

Comme une bonne série, laisse-les sur leur faim à chaque transition. Termine un passage en posant une question ou en laissant entendre que la suite est encore plus intéressante. Ça crée de l’anticipation et garde leur attention.

Clôture en beauté (ou avec une citation mémorable)

La fin de ta présentation, c’est ce qui va rester. Alors termine sur une note forte. Une citation percutante, une dernière histoire, ou un petit défi pour les laisser réfléchir à ce qu’ils viennent d’entendre. C’est comme la dernière note d’une symphonie, elle doit résonner encore quand le silence revient.

10 Façons de ruiner une présentation

Parfois, savoir quoi éviter vaut plus que tous les bons conseils. Voici dix erreurs qui peuvent ruiner une présentation si tu cherches à créer un vrai désastre :

Commencer par une excuse

Rien ne dit “je suis pas prêt.e” comme une excuse dès le début. “Désolé, je n’ai pas eu le temps de bien préparer” ou “Je ne suis pas vraiment doué.e pour ça.” Résultat ? Ton audience ne s’attend plus à rien d’impressionnant.

T’accrocher à un script comme à une bouée

S’appuyer sur un script te donne l’air de lire un texte en classe. Si tu lis mot pour mot, autant distribuer des copies et épargner le moment gênant.

Utiliser tes slides comme téléprompteur

Ces fameuses slides remplies de texte en tout petit, alignées comme une liste de courses… Si tes slides parlent pour toi, alors qu’est-ce que tu fais là-haut ? Les slides sont là pour appuyer, pas pour faire tout le boulot.

Inonder ton audience de chiffres

Les données, c’est bien, mais trop, c’est comme un flot d’eau pour quelqu’un qui se noie déjà. Choisis les faits qui frappent fort, ceux qui font vraiment sens.

Oublier de faire du contact visuel

Si tu fixes tes notes ou ton écran, tu perds ta connexion avec l’audience. Le contact visuel, c’est ta façon de dire “Je suis là avec vous.” Sans ça, tu donnes l’impression que tu aimerais être ailleurs.

Éviter les pauses

Parler sans pause, c’est comme courir sans respirer. Ça crée juste de la confusion.

Injecter de l’humour mal placé

Si l’humour n’est pas ton fort, ce n’est pas le moment d’expérimenter. Même si tu es marrant.e, assure-toi que ça colle au ton. Une blague ratée, c’est comme du sel dans un gâteau – mémorable, mais pas comme tu le voudrais.

Partir dans tous les sens

Un peu de spontanéité peut être charmant, mais trop, ça donne l’impression que tu es perdu.e. Trop de digressions, et ton public se demande si tu vas vraiment revenir à ton sujet.

Conclure par un “Voilà, c’est tout”

Finir sur un vague “c’est tout” manque d’impact. La conclusion, c’est ce qu’ils retiennent le plus – termine fort.

Ignorer ion audience

Si ta présentation ressemble à un monologue, c’est que tu la traites comme tel. L’interaction, même minime, engage les gens. Les ignorer, c’est les perdre.

Comment rendre une présentation interactive ?

Pour vraiment captiver ton audience, il faut comprendre comment faire la présentation interactive. L’interaction ne sert pas juste à combler le temps, elle brise la barrière invisible entre toi et ton public. Quand tu les fais participer, tu ne donnes plus une simple présentation, tu crées une expérience. À la fin, ils ne sont plus de simples auditeurs : ils sont acteurs d’une histoire dont ils se souviendront. Voici comment y arriver :

Commence avec une question impossible à ignorer :

Lance ta présentation avec une question intrigante, un peu déstabilisante, ou même légèrement accusatrice. Demande-leur : “Vous vous êtes déjà demandé pourquoi vos présentations sont si… bof ?” Tu verras les regards s’agiter, certains se demanderont même si tu parles d’eux en particulier.

Invite des réactions comme si tu animais un talk-Show :

Imagine que tu es à la tête d’un talk-show. Tu ne passes pas le micro, mais tu poses des questions qui appellent un signe de la tête, une main levée ou quelques murmures d’approbation. Ça crée une dynamique et fait en sorte que tout le monde se sente impliqué, même sans prendre la parole.

Utilise des sondages rapides pour les faire réfléchir :

Rien ne dit mieux “vos avis m’intéressent” qu’un sondage anonyme. C’est sans risque pour eux et hyper utile pour toi. Ils peuvent partager leur opinion sans peur du jugement, et toi, tu récoltes des insights tout en gardant leur attention. En bonus, ça les maintient éveillés !

Encourage de courtes discussions en binôme (mais garde le contrôle) :

Si ton discours devient un peu trop “cours magistral,” fais-les se tourner vers leur voisin pour échanger brièvement une idée. L’idée, c’est une petite étincelle de connexion, pas un débat qui s’étire. Ça ramène de l’énergie dans la pièce, tant que tu les recadres vite avant qu’ils partent dans leurs histoires de vie.

Prépare quelques participants avec des questions anticipées :

Astuce subtile mais efficace : avant ta présentation, demande à quelques amis ou collègues d’être dans le public avec des questions prêtes pour certains moments clés. Ça aide à briser la glace et, en un rien de temps, même les plus timides auront envie de participer.

Lance un élément surprise (un accessoire inattendu ou une déclaration audacieuse) :

Apporte un objet qui n’a rien à voir avec ton sujet, juste pour susciter leur curiosité. Ou fais une déclaration si surprenante qu’ils ne peuvent pas s’empêcher de réagir. L’interaction ne passe pas toujours par les mots ; elle peut être aussi simple qu’un sourcil levé ou un regard complice échangé dans le public.

Fais-les bouger (même si c’est juste en levant la main) :

La façon la plus simple d’instaurer de l’interaction est de les faire bouger, même un peu. Demande un signe de main, un pouce en l’air, ou un simple hochement de tête. L’engagement physique, même minime, les sort de leur passivité et ajoute de l’énergie à ta présentation.

Qu'est-ce qu'on dit à la fin d'une présentation ?

Ta conclusion, c’est la dernière chose que ton public retiendra. Alors autant bien comprendre comment faire la présentation qui reste gravée dans les esprits.

Résume sans avoir l’air de radoter

Évite de juste répéter tout ce que tu as dit. Résumer, c’est bien, mais fais en sorte que ce soit le moment “coup de maître”. Au lieu de lister tes points, rassemble-les en une idée finale, quelque chose qui donne l’impression d’un voyage accompli, pas d’une simple checklist revue.

Fais écho à ton introduction comme si tout était prévu

Si tu as commencé avec une question, c’est le moment d’y répondre. Si tu as ouvert avec une histoire, boucle-la ici. Ça donne une impression de boucle bouclée, un peu comme si le dernier chapitre d’un livre donnait enfin tout son sens à l’histoire. Ton audience sentira que tu maîtrises ton discours du début à la fin.

Partage une citation puissante (de quelqu’un d’autre, ça passe mieux)

Choisis une citation qui résonne avec ton sujet, qui laisse une impression forte, comme un “mic drop”. Pas besoin de citer Shakespeare ou Einstein ! Le but, c’est de donner à ton audience un petit bijou à emporter, quelque chose qui fera écho bien après ta présentation.

Lance un défi (ou au moins une suggestion qu’ils ne pourront pas ignorer)

Les gens adorent les défis, même s’ils ne l’avouent pas. Comprendre comment faire la présentation de manière à lancer un appel à l’action les poussera à se dire, “OK, voyons voir si je peux vraiment faire ça.” Le meilleur appel à l’action ne porte pas seulement sur ce qu’ils peuvent faire ensuite, mais sur ce qu’ils peuvent devenir. Ce que tu leur laisses, ce ne sont pas seulement des tâches, ce sont des possibilités.

Sache quand partir

Quand tu as dit ton dernier mot, arrête-toi. Pas de remerciements interminables, pas de “merci” en boucle. Il y a un art dans l’art de partir, et souvent, les meilleures fins sont celles qui laissent une petite part de mystère. Parfois, un peu de non-dit est exactement ce qui garde ton audience en réflexion, bien après ta dernière phrase.

Pourquoi Quwa fait la différence ?

Vous avez suivi tous les conseils sur comment faire la présentation qui tue : captiver le public, éviter les pièges, conclure en beauté. Mais entre la théorie et la pratique, il y a souvent un monde. C’est là que des bootcamps comme ceux de Quwa entrent en jeu.

Chez Quwa, on ne vous propose pas seulement des conseils théoriques que vous oubliez dès que vous fermez l’article. Non, ici, c’est du concret. Parce qu’on sait bien que la vraie magie se produit quand vous mettez la main à la pâte, quand vous testez, quand vous foirez un peu et que vous vous relevez plus fort. C’est là qu’on intervient. Quwa, c’est comme un GPS qui vous guide à travers la jungle des présentations sans vous laisser vous planter en chemin.

L’un des gros avantages de Quwa, c’est la communauté. Vous n’êtes plus seul(e) face à vos slides ou à votre public hostile. Non, vous faites partie d’un groupe qui partage vos peurs, vos défis et vos ambitions. Vous évoluez ensemble, dans un environnement bienveillant, soutenu par des coachs qui vous donneront des retours honnêtes (et parfois brutaux, mais nécessaires).

Ce qui rend Quwa unique, c’est qu’ici, on ne vous regarde pas d’en haut en vous faisant la morale. Vous êtes acteur de votre propre progression. Les bootcamps vous offrent une immersion totale, où vous faites des erreurs, vous apprenez, et surtout, vous sortez de votre zone de confort. Chaque étape est un pas de plus vers la maîtrise de l’art de la présentation. Et c’est ça qui fait la différence.

Quand vous rejoignez Quwa, vous ne venez pas juste pour devenir meilleur(e) en présentation. Vous venez pour développer une confiance en vous qui vous servira partout, que ce soit devant une salle pleine à craquer ou face à ce collègue qui vous intimide toujours un peu trop. Au final, ce qui vous fera vraiment briller, ce n’est pas seulement de savoir comment faire une présentation, mais d’avoir acquis l’expérience qui vous soutient à chaque instant.