C’est un peu comme une montagne russe !
Le management. Rien que de prononcer ce mot, on sent déjà l’odeur du cuir des fauteuils de direction, la cravate trop serrée, et la sueur froide des décisions à prendre. Le management, c’est ce truc mystérieux réservé à une poignée d’élus, nés avec un don inné pour guider les masses, comme des espèces de super-héros en costard-cravate. Quand on pense aux managers, on imagine toujours des figures stoïques, prêtes à inspirer leurs équipes après avoir gravi les sommets du succès, un petit air zen sur le visage, et une montagne de conseils à distiller.
Sauf que voilà. C’est du pur fantasme. La réalité est bien moins glamour et bien plus… humaine. Le management, c’est un peu comme une montagne russe où tu n’as pas la moindre idée de quand le prochain virage va te projeter la tête la première dans un mur. Entre les doutes constants, les échecs répétitifs et l’impression d’être un imposteur, c’est loin d’être une promenade de santé. Spoiler alert : les managers, les vrais, ne naissent pas dans un cocon de leadership tout beau, tout propre. Ce sont les épreuves qui révèlent les qualités du manager. Non, ils se construisent à la dure, à coups d’échecs, de galères, et de réveils en sueur à 3h du matin, en se demandant si tout ne va pas s’effondrer demain matin. Dans ce parcours semé d’embûches, les qualités du manager deviennent plus qu’une simple liste de compétences; elles forment la base de sa résilience.
Dans cet article, on va arrêter de fantasmer et décortiquer ce qu’est vraiment le management. Pas de théorie ennuyeuse, pas de concepts abstraits qui brillent comme des PowerPoints mal calibrés. Non, ici, on parle de l’expérience brute de ceux qui ont traversé les enfers de l’incertitude pour devenir les leaders qu’ils sont aujourd’hui. Parce que, spoiler n°2 : les qualités du manager ne se révèlent pas dans les paillettes du succès, mais dans la sueur, la ténacité, et cette capacité presque surnaturelle à ne pas tout envoyer balader quand le monde s’effondre autour de toi.
